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AGENDA

mercredi 15 décembre

19h00 Société Nautique du Léman Français apéritif en langue anglaise, dégustation/découverte de vins américains
 

 Bonne fin d'année à tous  

 

 

 

 

 

 

 


 

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Article 1 : Objet

Le présent code réglemente les conditions de participation et le déroulement du défi 
 

Article 2 : Compétiteurs

Le terme compétiteur désigne aussi bien un rameur qu’un barreur et s'applique aussi bien aux hommes qu'aux femmes sauf distinction expresse.

Le terme équipage désigne les compétiteurs composant un bateau.

 

Article 3 : Bateau d'aviron

Un bateau d'aviron est un bateau mu à la rame – aviron – par la seule force humaine dont tous les éléments porteurs, y compris les axes des éléments mobiles, doivent être fixés solidement au corps du bateau. Le siège du rameur peut être fixe ou se déplacer dans l'axe du bateau.

Les bateaux sont armés en pointe ou en couple, chaque rameur ayant un aviron dans chaque main.

   

Article 4 : la course

elle donne lieu à l'établissement d'un record et est organisée avec un virement de marque.

   

Article 5 : Obligation de licence

L’équipage est un équipage de club. Les cinq compétiteurs sont licenciés dans le même club.

Tous les compétiteurs doivent être titulaires d'une licence annuelle délivrée par la FFSA ou par une fédération affiliée à la FISA..

 

Article 6 : Certificat médical

La participation aux compétitions est subordonnée à la présentation d’un certificat médical datant de moins d’un an au jour de la compétition, mentionnant l’absence de contre-indication à la pratique sportive en compétition.

 

Article 7 : Assurance des compétiteurs étrangers

Tout compétiteur étranger non licencié à la FFSA doit être assuré pour la maladie et contre les risques et les conséquences d’accidents.

 

Article 8 : Comportement du compétiteur

Tout compétiteur doit respecter le présent code avec loyauté, respect d’autrui, et sans mettre quiconque en danger.

 

Article 9 : Catégories d’âges et classification 
 les âges indiqués ci-après sont ceux atteints dans le courant de l’année correspondant au millésime de la saison au titre duquel est délivrée la licence.

Junior 17 et 18 ans, Senior 19 ans et plus.

   

Article 9 bis : Classification et récompenses

Le type d’armement, pointe ou couple restant libre choix de l’équipage, les meilleurs temps réalisés seront référencés dans trois catégories :   homme senior, femme senior, mixte deux femmes et deux hommes

 

Article 10 : Dispositions particulières concernant les barreurs

Le barreur est admis sans distinction de sexe, il  devra avoir au moins 16 ans et justifiera d’une expérience " marine ".

   

Article 11 : Classes de bateaux d'aviron de mer

L’organisateur reconnaît la classe de bateaux suivantes pour cette épreuve :

4 rameurs en pointe ou en couple avec barreur 4-+ : 4x+

 

Article 12 : Obligations de construction pour les bateaux et les avirons

Les bateaux et les avirons sont de construction libre. Ils doivent toutefois satisfaire aux obligations suivantes :

1) Identification des bateaux

Sur chaque coté de la partie avant du bateau, doit figurer le numéro imposé par l’organisation, à défaut, le numéro d’immatriculation aux affaires maritimes ou le numéro du bateau dans sa ligue.

2) Les cale-pieds ou les chaussures

Lors des chavirages, un système doit permettre au compétiteur de se dégager du bateau sans l'aide des mains, dans les délais les plus brefs, en libérant complètement et automatiquement ses pieds. Dans le cas de chaussures fixées sur les planches de pieds, cette sécurité doit consister au moins en un lacet par chaussure reliant le talon de celle-ci au fond du bateau et limitant suffisamment le débattement du talon.

3) caractéristiques

Les bateaux doivent satisfaire aux textes réglementaires relatifs à la sécurité des navires. Les coques doivent être auto-videuses.

4) Les appareils de télécommunication

La présence dans le bateau de tout appareil permettant de communiquer avec toute personne extérieure au bateau est autorisée voire recommandée.

Les appareils permettant de se diriger sont autorisés ( boussole, GPS, …)

5) Les produits chimiques

L'utilisation de produits chimiques appliqués sur la coque du bateau et modifiant l'état naturel de l'eau est interdite.

 
Article 13 : Obligations de l'organisateur

Il doit, en temps utile :
• solliciter les autorisations nécessaires auprès des pouvoirs publics, conformément aux réglementations en vigueur

• désigner un directeur de course

• désigner un jury

• prévoir la présence effective d’un service de secours et de sauvetage

• tout mettre en œuvre pour que la compétition dont il a la charge se déroule dans les meilleures conditions de sécurité et de régularité en respectant les règlements lacustres

 

Article 14 : Ligne de départ et d’arrivée

Le départ sera donné depuis la base d’aviron de Lausanne, équipage dans le bateau . Dans le cas où plusieurs équipages relèveraient le défi, le départ sera échelonné.

Un signal sonore, audible par tous les compétiteurs, marquera le passage de la ligne d'arrivée de chaque équipage.

 

Article 15 : Marques de parcours

Une marque de parcours sera située à 400 mètres de l’arrivée, elle sera virée " d’eau à terre " et placée à 300 mètres de l’entrée Nord du port de Thonon au point GPS " N 46° 22,94 et E 6° 28,86 ". Elle obligera ainsi le barreur à ramener son équipage le long le long du quai pour franchir la ligne d’arrivée tendu entre le ponton de l’entrée de la plage municipale et le point  GPS " N46° 23,14 et E 6° 28,89 ".

 

Article 16 : Engagements, forfait, remplacement, équipage incomplet

Le défi sera relevé et annoncé par le challenger 66 jours à l’avance* ( le temps nécessaire aux autorisations DDE,…).

Une caution d’engagement sera réclamée. Cette caution ne sera pas restituée en cas de forfait.

Une finance d’inscription sera acquittée.

Afin de faciliter l’approche logistique, une offre sera faite pour l’hébergement, le prêt de matériel, le soutien, le suivi…( cf avant programme sur

 

Article 17 : Directeur de course

Le directeur de course :

• est l'interlocuteur unique des autorités pour transmettre et recevoir des informations

• s'assure que tous les dispositifs de secours sont opérationnels avant d'autoriser le départ des épreuves

• est en relation permanente avec le président du jury ;

• intervient dans le cas de conditions de compétition défavorables en matière de sécurité

 

Article 18 : Comité d’équité

Un comité d’équité est composé du directeur de course, du président de chacune des 2 associations organisatrices et du ou des arbitres
 
 

Article 19 : Délégué

Chaque équipage peut être représenté par un délégué officiel. Celui-ci est désigné lors des engagements par l'équipage qu'il représente.

Le délégué :

• n'est pas nécessairement un membre de l'équipage qu'il représente 
• ne peut être un arbitre officiant dans la régate ;

• doit être majeur.

• est l'interlocuteur unique de l'équipage qu'il représente  

• est tenu de participer aux réunions d'informations nécessaires au bon déroulement de la course 

• indique par écrit tout forfait ou changement intervenu dans la composition de l' équipage dont il a la charge 

• porte à la connaissance des entraîneurs et équipages  toutes les informations les concernant (modifications éventuelles d'horaires, règles de circulation, etc.).

La mission du délégué commence à la première réunion d’information où il doit signer une feuille de présence. Sa mission prend fin 30 minutes après la dernière épreuve de l'équipage qu'il représente sauf en cas de réclamation où il doit attendre la réponse apportée par le comité d'équité.

Un changement de délégué doit être signalé par écrit à l'ouverture de la réunion d’information.

Article 20 : Réunion d'information

Y participent :

• les délégués

• les membres du comité d’équité

Elle doit se terminer au minimum une heure avant le départ

Elle informe :

• des conditions générales de courses (parcours, repères, etc.)

• du dispositif relatif à leur sécurité 

• des prévisions météorologiques

• de toute modification apportée au programme

• de la procédure de modification, suspension ou annulation d’une épreuve.

Il y est fournit un document ou une carte pour chaque embarcation comprenant :

• l’emplacement du point de départ et d’arrivée avec leurs caractéristiques d'identification

• toutes les marques de parcours avec leurs caractéristiques d'identification

• tous les éléments remarquables présents sur le parcours (bouées, balises, etc.) 

• les passages obligatoires ou interdits 

• les plans de circulation

 

Article 21 : Sécurité des compétiteurs

La sécurité des compétiteurs doit constituer la préoccupation principale du comité d’organisation et du jury durant la course.

Un service de secours et de sauvetage doit être prêt à intervenir sur terre et sur l’eau. Pendant la course l’organisateur met en place un service de bateaux d’accompagnement.

Le directeur de course s'assure que tous ces dispositifs sont opérationnels avant d'autoriser  le départ d'une épreuve.

1) Incident, accident, malaise d’un compétiteur

Si un compétiteur tombe à l’eau, si un bateau chavire ou coule, si un compétiteur présente des signes de malaise dans un bateau durant le parcours, l’arbitre le plus proche doit s’assurer que le service de secours et de sauvetage intervient et rester près du compétiteur en difficulté jusqu’à l’intervention effective des secours.

En cas de danger immédiat, il doit tenter de porter réellement secours en intervenant lui-même dans la mesure de ses moyens.

2) Plans de circulation

Les organisateurs de la course sont tenus d’établir des plans de circulation pour sécuriser le déplacement sur l’eau.

Ces plans doivent être affichés visiblement à proximité de la zone d’embarquement et dans le parc à bateaux.

3) Conditions de compétition défavorables et prévisibles à l’avance

Le déroulement du programme peut être modifié si les conditions atmosphériques ou autres l’exigent.

Dans ce cas, la décision est prise par le "comité d’équité".

4) Conditions de compétition devenues subitement défavorables

Le directeur de course ou les présidents des associations organisatrices peuvent seuls décider de ne pas faire donner le départ ou de faire arrêter une épreuve s’ils ont le sentiment que les conditions sont devenues dangereuses.

L’arbitre de parcours peut aussi arrêter une épreuve pendant son déroulement.

Les compétiteurs doivent alors s’arrêter immédiatement et suivre les consignes qui leur sont données.

 

Article 22 : Règles générales

1) Équipement des bateaux

L’embarcation prenant le départ doit être équipée réglementairement. Dans le cas contraire, le départ lui est refusé.

2) Avaries

Un équipage ne peut se prévaloir d’une avarie pour demander la remise à plus tard de la course ou son annulation à moins qu’il ne soit seul à concourir.

3) Infractions aux règles de circulation sur le lac Léman

Le non-respect des règles de circulation est sanctionné au minimum par un avertissement.

4) Accidents matériels et/ou corporels entre équipages

Si un ou plusieurs équipages subissent un dommage matériel et/ou corporel, il incombe au comité d'équité d’établir un constat en entendant les équipages concernés.

celui-ci établit ensuite un procès-verbal d’accident qui sera joint en annexe au procès-verbal de la course, accompagné de tous les documents jugés utiles (noms et déclarations des témoins, déclaration des associations concernées, rapports médicaux, etc.).

De leur côté, les groupements sportifs des équipages accidentés doivent impérativement, adresser leur déclaration à la compagnie d’assurance auprès de laquelle ils ont souscrit un contrat.

Le comité d’organisation est destinataire d’un duplicata du procès-verbal d’accident.

Dans le cas où l'équipage auquel appartient l’embarcation jugée responsable de l’accident ne serait pas assuré pour dommages au matériel, il est totalement et pécuniairement responsable du remboursement des dommages au tiers.

5) Conseils aux compétiteurs depuis l’extérieur du bateau

Il n’est pas interdit de donner des indications ou conseils aux équipages en course et de les diriger au moyen d’appareils d’amplification ou de transmission depuis la terre ou un autre bateau, même si ce dernier est aussi en course.

 

Article 23 : Procédures principales

1)  départ 
La procédure de départ sera définie en fonction du nombre de bateaux engagés
2) Observation à un équipage
Pour faire une observation à un équipage en course, l’arbitre de parcours se rapproche de lui et lui transmet l’observation
3) Arrêt d’un équipage
Pour arrêter un équipage, l’arbitre de parcours se rapproche de lui, l’arrête en prononçant le terme "STOP"
4) Arrêt d’une course après le départ
Pour arrêter la course, l’arbitre de parcours le plus proche
• actionne deux coups longs du signal sonore et agite son drapeau rouge
• après l’arrêt des équipages, informe les compétiteurs des motifs de l’arrêt et des procédures à suivre

Article 24 : Règles de déroulement d'une course

1) À l’embarquement

Les compétiteurs doivent répondre à toute sollicitation des organisateurs qui peuvent:

• vérifier la conformité de la composition de l’équipage par le contrôle des licences 

• vérifier la conformité du bateau

Si les organisateurs relèvent qu’un bateau n’est pas conforme, ils n’autorisent pas l’équipage à embarquer. L’équipage doit retourner au parc à bateau pour mise en conformité, à moins que celle-ci puisse être faite sur place dans un délai très court

2) Pendant la course
Toute embarcation rattrapant un autre concurrent est tenue d’éviter un abordage

L’embarcation rattrapée ne doit en aucun cas faire obstruction à toute manœuvre de dépassement par un équipage rattrapant.

En cas de risque d'abordage de plusieurs bateaux, un équipage qui s’estime trop serré par ses voisins doit interpeller nominativement l’un ou l’autre de ses voisins soit par le nom du bateau, soit par le nom du groupement sportif, "x… de l’eau !"

L’embarcation interpellée fautive doit infléchir sa route pour laisser à l’embarcation serrée et à ses avirons l’espace nécessaire.

En cas d’abordage des bateaux ou des avirons, le ou les équipages fautifs peuvent être sanctionnés.

Lors du virement d’une marque de parcours les équipages doivent veiller à éviter tout abordage et respecter les règles de rattrapage.

Tout équipage ayant pris le départ est tenu de ramer le parcours entièrement et régulièrement pour terminer en franchissant la ligne d’arrivée, sauf cas de force majeure ou autorisation de l’arbitre de parcours

Les équipages sont seuls responsables de leur direction

Les équipages doivent immédiatement obéir aux injonctions de l’arbitre de parcours, que ce soit pour des indications de direction, pour une injonction à s’arrêter ou pour un arrêt de course

Tout équipage qui abandonne doit le signaler auprès de l’arbitre de parcours .

L’arbitre de parcours est situé sur tout ou partie de la course sur un bateau à moteur
Il apprécie la régularité de la marche des embarcations
Il ne doit pas diriger les équipages sauf si un obstacle ou un danger se trouve sur leur route

Il doit faire une observation aux équipages qui sont sur le point :

• de nuire à l’un des autres concurrents

• de créer un incident ou un accident 

• d’être victimes d’un accident

Si un équipage est sur le point de gêner ou d’accidenter un autre équipage, l’arbitre de parcours :

• applique la procédure d’observation à un équipage 

• donne un avertissement si l’équipage n’obtempère pas après deux appels 

• applique la procédure d’arrêt à l’équipage s’il n’obtempère toujours pas et lui signifie sa disqualification ; si cette manœuvre est impossible, il le laisse terminer le parcours et prend la sanction qu’il juge utile après avoir consulté le résultat final 

• peut immédiatement arrêter l’équipage incriminé sans avoir donné les injonctions préalables, si le changement de direction de l’équipage est très subit.

Si une course ne peut être menée à son terme parce que les conditions atmosphériques sont devenues subitement défavorables, l’arbitre de parcours doit arrêter la course en appliquant la procédure d’arrêt de course.

L’arbitre de parcours doit alors :

• s’efforcer de mettre les équipages en sécurité 

• rester près d’eux jusqu’à ce que les secours interviennent

Si un obstacle gêne fortement la course, l’arbitre de parcours peut décider d’arrêter cette dernière et de renvoyer les équipages pour un nouveau départ immédiat ou différé

En cas de danger immédiat, il doit tenter de porter secours dans la mesure de ses moyens

Si un accrochage entre plusieurs équipages se produit, l’arbitre de parcours peut :

• laisser se dérouler la course en évaluant la gêne occasionnée par l’équipage fautif 

• l’arrêter s’il estime sa régularité faussée et renvoyer les équipages pour un nouveau départ immédiat ou différé 

• dans tous les cas prononcer immédiatement une sanction à l’égard d’un équipage fautif

À la fin de la course qu’il a laissé se dérouler, et après s’être informé du résultat, l’arbitre de parcours :

• juge la course régulière s’il estime que l’incident n’a pas faussé le résultat

• juge la course irrégulière dans le cas contraire

Dans ce dernier cas, le comité d'équité peut  prononcer une sanction à l’égard de l’équipage fautif 

L’arbitre de parcours signale dans son rapport tout équipage n’ayant pas franchi la ligne d’arrivée.

Commissaire de virage

Le commissaire de virage contrôle le passage des concurrents aux marques de parcours .

3) Arrivée

Un équipage est arrivé lorsque l’étrave de son bateau franchit la ligne d’arrivée.

Le franchissement d’un bateau est signalé par un signal sonore différent d’un son de cloche.

Une course est déclarée terminée lorsque le dernier équipage a franchi la ligne d’arrivée.

Pour être classé :

• un équipage doit franchir la ligne d’arrivée entre les deux bouées de matérialisation

• l’équipage doit être complet au passage de la ligne d’arrivée

L’arbitre de parcours attend que le dernier équipage franchisse la ligne d’arrivée, observe les équipages pour s’assurer qu’ils n’ont pas de problème de santé et vérifie si des équipages portent réclamation

Il informe ensuite le comité d'équité,  à l'arrivée, de la régularité ou non de la course

Le juge à l’arrivée

• classe les bateaux selon leur ordre d’arrivée en notant leur identification 

• relève le temps mis par chaque équipage

• attend que tous les équipages aient franchi la ligne d’arrivée

• vérifie si des équipages portent réclamation 

• s’assure auprès des arbitres de parcours de la régularité de la course 

• mentionne les pénalités éventuelles 

• valide le résultat s’il n’y a pas de réclamation et si la course a été jugée régulière

Lorsqu’une réclamation a été déposée, ou qu’une course a été jugée irrégulière par l’arbitre de parcours, l’annonce du résultat de la course est retardée jusqu’à la décision du comité d'équité.

4) Réclamation

Une réclamation est la contestation du résultat par un équipage lorsqu’il estime que la course s’est courue d’une manière anormale, qu’elle a été mal jugée ou que des éléments extérieurs en ont perturbé le résultat.

Modalité de dépôt de la réclamation

Les réclamations sont annoncées verbalement par l’équipage concerné au maximum 2 minutes après l’arrivée du dernier bateau de la course.

• à l’arbitre de parcours ou à un commissaire de virage ;

• au juge à l’arrivée, dans le cas où l’arbitre de parcours n’a pu être joint.

Les réclamations sont confirmées par écrit par le délégué de l’équipage dans le délai d'une heure après la fin de la course concernée auprès du directeur de course 

5) Conséquence d’une réclamation ou d’une course irrégulière

 

Le comité d'équité  étudie la réclamation ou les conditions d’une course irrégulière et fait connaître sa décision dans le délai maximum de deux heures après la dernière course de la session.

À cet effet, il entend tout arbitre, protagoniste, ou témoin qu’il juge utile.
Sa décision est applicable immédiatement.

 

 

 

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